Pont-Château

Pont-Château Mairie
Place de la Mairie BP 72
44160 PONT-CHATEAU
tél. 02 40 01 63 00
Fax 02 40 45 00 33



La commune de Pontchâteau (Pontkastell-Keren) est chef lieu de canton. Pontchâteau dépend de l'arrondissement de Saint-Nazaire, du département de Loire-Atlantique. Localisation.


Etymologie et histoire de Pontchâteau :

Pontchâteau vient du château et du pont autour desquels s'est formée la ville.


Voir aussi :

Selon le dictionnaire complet de tous les lieux de la France et de ses colonies de P. M. Barbichon P. 631 :

PONT-CHATEAU, vill. et com. du dép. de la Loire-Inférieure (Bretagne) cbef-licu de canton de l'arr. et à 3 l. 3/4 de Savenai, Cure, bureau d'enregist. brigade de gendarm.; 4 foires; 11 juin, 22 juillet, 1er sept. et 1er lundi de nov. Pop. 3,100 h. Bureau de poste de Nantes à Brest. - Le canton de Pont-Chaâteau renferme  com. Pop. 8,619 h.


Quelques lignes tirées du "Dictionnaire Historique et Géographique de la Province de Bretagne, par MM. J. Ogée, A. Marteville et P. Varin (1845), p 367


Pont Château;  gros bourg, sur la route de Nantes à Vannes ; à 10 l. à l'O. de Nantes, son évêché et son ressort et à 18 1. de Rennes. On y compte 4000 communiants, y compris ceux de Sainte-Reine, sa trêve. La cure est à l'alternative. On trouve à Pont-Château une subdélégation, et un marché tous les lundis.
C'est une seigneurie considérable, qui envoie aux Etats, comme baronie; mais elle n'a qu'une seule voix avec le seigneur de Pont-Labbé. Pont-Château, haute-justice, à M. le comte de Menou seigneur de l'endroit et lieutenant-de-roi à Nantes; le Crevi, moyenne et basse-justice, à M. le sénéchal de Kyguisé; Langle-Ruine, moyenne et basse-justice, à M. Charette de la Colinière. -

L'an 1050, Jarnogan, seigneur de Pont-Château, fit une donation au prieuré de Saint-Cyr de Nantes, connu aujourd'hui sous le nom de Saint-Léonard. - Benoit, évèque de Nantes, donna, en 1080, l'église de Pont-Château au nommé Rodoald, avec tous les droits qu'il avait dans cette paroisse, malgré la défense du concile tenu à Rome en 1049, lequel désapprouve et condamne des donations semblables, faites à des laïques, Rodoald, étant tombé malade, eut envie de se faire moine, selon la folie du temps, dans l'idée que cela seul suffirait pour expier toutes les fautes qu'il avait pu faire; mais comme il fallait beaucoup d'argent pour avoir la consolation de mourir avec un froc, il n'eut d'autre parti à prendre que celui de donner son église de Pont-Château à l'abbaye de Marmoutier. On ne refusa pas son présent et le capuchon monacal lui fut sur-le champ accordé.
De pareilles bévues peignent très-bien les mœurs de ces lemps d'ignorance, et nous montrent jusqu'où peut aller une aveugle dévotion. Rodoald avait une femme et un fils à la mamelle, et il aima mieux laisser ces deux faibles créatures dans la plus affreuse indigence que de mourir hors du cloître ; il se contenta de les recommander à Benoît, évéque de Nantes, son bienfaiteur, qui eut lui même la faiblesse de consentir à cette donation insensée et cruelle.
Dès que Rodoald fut mort, Bernard, abbé de Marmoutier, se rendit à Nantes, chez les moines de son ordre, qui y demeuraient alors, dans la paroisse de Sainte-Radegonde. L'éveque Benoit, ayant appris l'arrivée de cet abbé, lui parla, et l'engagea à pourvoir au besoin de la veuve et du fils du donateur; mais celui-ci le refusa, et dit très-positivement et très-monastiquement qu'il n'en ferait rien. Quelque temps après, il partit pour prendre possession du riche héritage qu'on lui avait si mal à propos laissé.
Heureusement, le baron et les autres seigneurs des environs, qui se trouvèrent à cette prise de possession, lui représentèrent avec tant de force qu'il était juste qu'il fit subsister cette malheureuse famille, que, cédant à leurs importunités, peut-être plutôt qu'à la justice, il consentit de donner l'habit de moine à l'enfant losqu'il serait en âge, et que, s'il voulait rester dans le monde, il pourvoirait à ses besoins. Depuis ce temps, l'église de Pont-Château est restée aux moines de Marmoutier, qui en ont toujours perçu les dimes, qui produisent, année commune, au moins cent tonneaux de grains : il faut pourtant avouer qu'ils en abandonnent la cinquième partie au recteur. Après cela, qui ne louerait pas leur générosité?

L'an 1116, Josselin, seigneur de la Roche-Bernard, donna au prieuré de Pont-Château la troisième partie des dîmes de son fief de Plaisance.

L'an 1125, Olivier, seigneur de Pont-Château, fils de Jarnogan; Savary, seigneur de Donges, et quelques autres seigneurs, accompagnés d'une troupe de brigands, se rendirent à Redon, et pillèrent les vassaux des moines de Saint-Sauveur.
Le duc Conan III envoya contre ces seigneurs des troupes qui les pressèrent si fort, qu'ils furent obligés de se réfugier dans l'église de l'abbaye, où ils se crurent en sûreté; mais ils se trompèrent, l'église fut bloquée, et les assiégés, pressés par la faim, se virent contraints de se rendre prisonniers. Ils furent conduits à Nantes, et enfermés dans le château du Bouffay, où ils restèrent jusqu'en 1127.
Ce fut à cette occasion que le duc fit raser le château de Donges. Olivier de Pont-Château, qui avait été excommunié, ne put recevoir l'absolution ni s'accommoder avec les moines de Redon, qu'en se dépouillant en leur faveur de sa terre de Ballac, située dans la paroisse de Pierric, terre qui depuis a formé un riche prieuré, dont jouissent les bénédictins de Redon. Cette cérémonie se fit avec la plus pieuse formalité, au pied des autels, le 24 octobre 1127.

L'an 1132, Olivier, plus irrité que jamais contre les moines de Redon, pilla les possessions qu'ils avaient dans la paroisse de Moais, où il leur causa un dommage qui fut évalué à environ 500 sous. Brice, évéque de Nantes, lança aussitôt contre lui les foudres de l'excommunication, que le coupable ne put faire lever que par la donation qu'il fit de la terre de Brengoen, qui était à peu de distance de celle de Ballac. L'écrivain qui rapporte ce fait assure qu'Olivier ne voulut plus s'exposer une troisième fois à mériter la disgrâce de ces religieux. -

L'an 1189, Eudon de Pont Château, voulant réparer les injures qu'il avait faites aux moines de Marmoutier, qui desservaient alors l'église de Pont-Château, et se réconcilier avec eux, les exempta de plusieurs droits qu'ils devaient à sa seigneurie, particulièrement des 14 sous de rente qu'ils lui devaient pour le droit de pèche dans la rivière, et leur donna de plus un clos de vignes et deux pièces de terre qui dépendaient de sa seigneurie.

L'an 1225, la terre de Pont-Château passa à la maison de Rohan, d'où sortirent les seigneurs de Pont-Château.

L'an 1236, Constance, dame de Pont-Château, fille d'Eudon de Pont-Château, fit plusieurs dons à l'abbaye de Blanche-Couronne. Autrefois, pour honorer les morts, on allumait des lampes sur leurs tombeaux. Eudon de Pont-Château en fonda une, en 1258, dans l'église de l'abbaye de Blanche-Couronne, pour brûler, jour et nuit, devant la sépulture de son père, qui y était inhumé. On avait encore, en ce temps, la coutume de mettre dans les tombeaux des pots avec du charbon allumé et de l'encens; on en trouve plusieurs preuves dans l'histoire. Durand remarque que cet usage n'était pas général. -

L'an 1274, Nicole, dame de Lesquern, donna au prieuré de Pont-Château les deux tiers des dîmes et des prémices qu'elle avait dans son domaine de Pont-Château et de l'Ecran, avec un champ et un manoir qui y était joint. Guillaume de Lesquern, son fils, ratifia cette donation et y ajouta 11 sous 6 deniers de monnaie courante de rente.

L'an 1290, le seigneur de Clisson était seigneur de Pont-Château. - Pierre de Rohan, baron de Pont-Château, mourut en 1518, et fut inhumé aux cordeliers de Rennes. Ce seigneur avait fait son testament dans la maison de la Thebaudais, le 12 juin, et confirmé le 22 suivant; il porte qu'il sera dit dix mille messes basses, et qu'on fera, à deux mille pauvres, le jour de son service à Pont-Château, une aumône d'un liard à chacun, si tant est que le nombre compétent puisse s'y trouver; il fonda, par ce même testament, dans l'église de cette paroisse, une messe quotidienne, à diacre et sous-diacre, laquelle doit être chantée par six prêtres et quatre chantres; il assigna une rente annuelle de 72 livres monnaie courante, à prendre sur la baronnie de Pont Château. -

L'an 1625 René de Cambout, marquis de Coislin, grand-maître des eaux et forêts de France, acquit la baronnie de Pont-Château, et épousa Françoise Duplessis, tante du cardinal de Richelieu, de laquelle il eut deux fils : l'ainé, nommé Jean, fut chevalier des ordres du roi, lieutenant de roi en Bretagne, et gouverneur des ville et château de Brest. -

Au mois de juillet 1709, Louis Marie Grignon de Montfort, un des grands missionnaires de son temps, fît à Pont-Château une mission qui est regardée comme une des plus fameuses qu'il ait faites dans la province. Cet ecclésiastique zélé, voulant faire construire un calvaire, exhorta le peuple à le seconder dans son dessein; tout le monde s'y prêta avec joie, et l'endroit pour la construction de ce calvaire, fut choisi dans une lande, à une demi-lieue à l'ouest-nord-ouest de Pont-Château, sur une petite eminence d'où l'on découvre sept à huit lieues de pays.
A la voix du missionnaire, les habitants de la campagne se rendirent en foule pour travailler aux fossés qui étaient nécessaires pour empêcher les bestiaux d'approcher de la croix qu'on voulait planter. Ce missionnaire. voyant la grande quantité de peuple qui venait travailler à cet ouvrage, forma un plus grand projet : il fit creuser de grandes douves, qui avaient cinq cent pieds de circonférence, sur vingt pieds de largeur et autant de profondeur dans œuvre; les terres provenant du creusement de ces douves furent amoncelées pour faire une montagne.
On employa quinze mois à ce travail; les gens de la campagne y venaient de douze à quinze lieues à la ronde, hommes, femmes, garçons et filles; il y avait ordinairement trois cents personnes à travailler par jour, et chacun y apportait des provisions et des instruments.
Le saint missionnaire, pour augmenter leur activité, se mettait à leur tête et béchait comme eux, en chantant des cantiques, qu'ils répétaient. Enfin, on parvint à faire une montagne de cent quarante pieds de large, sur environ quatre-vingts de haut, sur le sommet de laquelle le missionnaire planta trois grandes croix d'une hauteur considérable : celle du milieu avait quarante-un pieds trois pouces de hauteur ; l'arbre qui servit à cette croix était un châtaignier qui appartenait à un paysan des environs.
Le missionnaire, qui lui avait écrit plusiquers fois, sans recevoir de réponse, prit le parti d'aller lui-même le trouver, accompagné de deux charpentiers; et ayant, par son éloquence, arraché un léger consentement, il fit sur-le-champ couper cet arbre, et le fit trainer, par vingt-quatre boeufs, au calvaire : c'était peut-être le plus bel arbre qu'il y eût dans tout le comté nantais, et même dans la province.
Louis-Marie Grignon voulait faire bâtir quinze chapelles autour de ce calvaire, dans lesquelles auraient été représentés, de grandeur naturelle, les quinze mystères du Rosaire ; trois étaient déjà bâties, lorsque le roi Louis XIV craignant que cet endroit ne devint, dans la suite, une citadelle avantageuse à la rébellion, ordonna de détruire ce calvaire.
En conséquence des ordres de la cour, les paroisses du voisinage furent commandées pour démolir ce qui leur avait coûté tant de peine à construire. On voit encore les restes de ce calvaire, qui annoncent que c'était une grande entreprise. -

Lettres-patentes sur arrêt du conseil, de l'an 1774, portant établissement de six foires, par an, à Pont-Château, en faveur de M. le comte de Menou. -

Le territoire de Pont-Château offre à la vue des terres de la meilleure qualité, des prairies excellentes, et une quantité prodigieuse de landes dont le sol parait mériter les soins du cultivateur. On y voit plusieurs bois taillis assez grands ; celui qu'on nomme la forêt de la Magdelaine est le plus étendu.

PONT-CHATEAU (sous l'invocation de saint Martin) ; ville : commune forméc de l'anc. par. de ce nom, moins sa trêve Sainte-Reine (voy. ce mot), devenue commune ; aujourd'hui cure de 2e classe ; bureau d'enregistrement ; chef-lieu de perception ; brigade de gendarmerie à cheval ; bureau de poste et relai. - Limit. : N. et N.-E. Saint-Gildas-des-Bois, Drefféac ; E. et S.-E. Cambon, Prinquiau ; S. et S.-O. Besné, Crossac ; O. Sainte-Reine, Missillac. - Princip. vill. : la Grée, Beaumard, Quéral, le Clos, la Gacognais, les Métairies, la Menais, la Dréchais, la Gérardais, l'Ile-Gouère, Soulaine, Lurin, Launay, Bressun, Pimpenelle, la Lande, le Rocher, Bréveneux, le Grand-Buisson-Rond, Callac, Pilé, la Jatte, la Porcherais. - (Voy. le Supplément pour les contenances cadastrales.) - Moulins de la Pierre, de la Brissais, de la Madelaine, de Saint-Guillaume, de Beauchêne, de la Lande, de la Cuais, de Prunet, de la Ferrière. - La petite ville de Pont-Château est située sur la route de Nantes à Audierne par Vannes, et à l'endroit où devient navigable la petite rivière du Brivé, qui traverse les marais de Montoire et va de là se jeter dans la Loire. Cette localité n'offre rien d'intéressant, si ce n'est un commerce assez important de tannerie et mégisserie, ainsi qu'une assez forte exportation de grains. - Les terres qui environnent Pont-Château sont pour la plupart fertiles et produisent d'excellent grain ; ou ne s'en étonne que davantage de voir encore incultes beaucoup de landes, dont le sol promet de dédommager des soins qu'on lui donnerait. - Aujourd'hui qu'on ne voit plus, comme autrefois, un point dangereux dans la moindre taupinière, l'œuvre du missionnaire Grignon a été reprise, en 1822, par le curé de Pont-Château. Comme le père Grignon, il trouva les paysans des environs empressés de lui obéir, et ces braves gens vinrent en procession travailler à relever la montagne détruite par ordre de Louis XIV ; bientôt le calvaire fut relevé. C'est aujourd'hui un monument remarquable, et que sa position sur un point déjà élevé fait distinguer de loin. - C'est par erreur qu'Ogée a indiqué en Drefféac la terre de Casso ou du Plessix-Casso. Cette terre, qui appartenait à M. de Lesquen du Plessix-Casso, est aujourd'hui à M. Calvé de Soursac. - Les six foires qui se tenaient jadis à Pont-Château ont d'abord été réduites à quatre, et sont maintenant au nombre de cinq ; elles se tiennent les deuxième lundi d'avril, 11 juin, 22 juillet, 1er septembre et premier lundi après le 2 novembre. - Il y avait à Pont-Château une maladrerie de fondation commune, à présentation de l'évêque. - Géologie : Cette petite ville est située sur le sommet du coteau septentrional de la Loire, qui porte le nom de Sillon de Bretagne. Le sol de la commune est un mélange de gneiss passant au micaschiste, alternant avec le granite et la diorite schistoïde ; au sud se développent les marais tourbeux. - Une source d'eau ferrugineuse existe à la Béraudals. - V. sur Pont-Château dom Morice, Mém., t. I. col. 471, 474, 531, 702, 713, 71, 1031, 1031; T. II, col. 1640 ; t. III, col. 232, 662, 945.) - On parle le français.


Vu sur Wikipedia : trêve :                (retour au texte)

Vu sur Wikipedia : froc :                (retour au texte)

Voir le site de l'Encyclopédie Universelle sur l'abbaye de Marmoutier et son histoire            (retour au texte) 

Vu sur Wikipedia : liste des évêques de Nantes :            (retour au texte)  Vu sur Société de Mythologie Française :            (retour au texte) 
Vu sur Wikipedia : histoire de la dime :            (retour au texte) 

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Vu sur Info Tourisme : Bénédictins de Redon :                (retour au texte)  Tiré des Annales de Nantes de F.C. Meuret : terre de Brengoen :            (retour au texte)

Vers ce même temps, Olivier, seigneur de Pontchâteau, et Savary, seigneur de Donges, eurent une querelle avec les moines de Redon, et attaquèrent leurs vassaux, sur lesquels ils firent un grand butin. Conan se crut obligé de punir ces brigandages; il marche contre les deux seigneurs, les poursuit jusque dans l'église de Redon, où ils s'étaient réfugiés; faits prisonniers, le duc les envoya à Nantes, et les lit renfermer au château du Bouffai, où il les retint quelque temps. Le château de Donges fut rasé, et Olivier de Pont-château fut condamné à donner à l'abbaye de Redon sa terre de Ballac, qui fut érigée en Prieuré, charge de le punir, et emploie un moyen efficace, en excommuniant Olivier jusqu'à restitution. Celui-ci, aussi prompt à se repentir que facile à se livrer au brigandage, n'avait point de quoi satisfaire les offensés il fut obligé de les dédommager avec sa terre de Brengoen, qui joignait celle de Ballac. Cette manière de réparer ses torts, plus avantageuse à l'abbaye qu'aux paysans ruinés, lui mérita l'absolution.

Vu wur Wikipedia : Maison de Rohan :            (retour au texte)

La maison de Rohan est une famille princière du duché de Bretagne qui a également marqué l'histoire de France. La maison des Rohan était, avec celles de la maison de Clisson et de la maison de Laval, la plus puissante du duché de Bretagne.

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L'abbaye Notre-Dame de Blanche-Couronne est une abbaye de Bretagne, située à La Chapelle-Launay en Loire-Atlantique.

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Louis-Joseph II (14 février 1725 - Nantes † 1793), 3e comte de Menou, baron de Pontchâteau (pour laquelle il fit hommage au roi en 1754), châtelain de La Brenière, capitaine au Régiment de la Rochefoucauld, Maréchal de camp des armées du Roi, gouverneur du Gâvre, admis aux honneurs de la Cour en 1782, marié le 12 janvier 1751 (Nantes) par Mr l'abbé De Menou (docteur en théologie, abbé de Bon-repos, scolastique dignitaire de la Cathédrale de Nantes) à Bonne-Emilie Cauchon de Maurepas (1734 † 1800)


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